11 mars 2007

À bride abattue : le cheval ; une noblesse à protéger

J’avais pensé vous parlez des joies équestres hivernales, de belles galopades dans les froids de notre bonne campagne québécoise, mais j’ai plutôt opté pour une autre option, je vous expose. J’ai découvert des images horribles de mauvais traitements administrés à des chevaux alors que je farfouillais sur Internet.

Des animaux amaigris, n’ayant que la peau sur les os. Ces bêtes photographiées comme des squelettes qui nous serviraient à l’observation, alors qu’elles sont toujours vivantes et qu’elles souffrent comme jamais. D’autres avec des blessures importantes sur le dessus du crâne. J’ai même vu un vidéo, où l’un d’entre eux recevait des mauvais traitements et je me sentais si impuissante.

Ça me donne mal au coeur de voir qu’il y a encore des hommes qui se croient suffisamment supérieurs aux animaux, qu’ainsi ils permettent de s’approprier la vie de créatures finalement beaucoup plus nobles qu’eux.

Peu importe contre qui sont dirigés ses mauvais traitements, - chiens, chats, oiseaux, ou comme c’est le cas ici, le cheval - il faut tous crier dans la même direction et dire que ces traitements sont inadmissibles et affligeants!

Alors, qui de mieux que nous, - étudiants en Technique de santé animale, ou bien vous, étudiants à la concience éveillée - peut se lier afin d’arrêter de tels supplices?

Plusieurs associations, dont les adresses électroniques sont offertes plus bas, nous permettent de réagir et de dénoncer ainsi toutes les injustices commisent envers le cheval. L’une d’entre elles, le CHEM, c’est-à-dire, le Centre d’Hébergement et de protection des Équidés Maltraités, possède un centre d’action se situant principalement en France, mais leur fonctionnement est exemplaire. 150 agents qui font, en moyenne, deux signalements par jour (au total), ensuite, des gens tels que : des vétérinaires, des gendarmes et même les médias interviendront s’ils jugent que cela est nécessaire afin de faire changer la situation. Les animaux qui s’y retrouvent, - ils y regroupent ânes, poneys et chevaux - ne peuvent pas être montés, car ils sont souvent trop vieux et qu’ils gardent des séquelles de leur vie passée. Heureusement, ils sont très bien entourés par des gens honnêtes qui leur donnent tout l’amour dont ils ont besoin.

D’ailleurs, en faisant des recherches, j’ai découvert que dans les pays anglo-saxons, on avait même créé un ruban violet correspondant à cette cause.
par Érika Gauthier Van Grimbergen

1 commentaire:

Anonyme a dit…

je suis dans le monde equestre depuis 7 ans maintenent. J'ai déja vue quelle que fois des cas de maltraitence chevaline.souvent localiser au niveau des pattes, fourbure,sabot fandu et sabot pourie la plus par du temps par lumidité des anclos ou parc ou ils vivent.Où même encore comme vous disiez des chevaux squellettique sous nourie et souvent désidrater.Au Canada nous n'avons pas de protection pour les équiders(a se que je sache...) il y a la SPCA mes se son pour les petits animaux.j'aimerais savoir des si il y a des organismes exemple:le {CHEM} MES {VERSION CANADIENNE}. Merci