25 janvier 2007

Éditorial, du lundi 4 décembre 2006

Bonjour tout le monde ! Je suis heureux de pouvoir enfin vous adresser quelques mots au nom du Zooflèche, votre journal animalier tant attendu. Tout d’abord, avant que vous ne parcourriez les pages suivantes, débordantes d’amour et de passion pour les animaux, j’aimerais remercier les gens qui ont fait et qui feront de ce magazine, j’en suis persuadé, une revue journalistique des plus mordantes, si vous me permettez l’emploi de cet adjectif. Nous sommes flattés de constater que votre intérêt croît jour après jour à l’endroit de cette publication. Après plusieurs semaines mouvementées passées entre les réunions un peu partout dans le collège et les sollicitations de chroniqueurs, le Zooflèche naît, avec un goût riche en saveurs affriolantes et une étonnante fusion de parfums et fragrances animalières. Le Zooflèche, c’est l’art de combiner l’ardeur de l’écriture et l'amitié des animaux. Donc, un grand merci aux gens qui croient en ce projet et qui font en sorte qu’il connaisse le succès qu’il mérite aujourd’hui. Merci tout particulièrement aux étudiants et étudiantes du programme Techniques de Santé animale du collège qui ont approuvé l’idée et qui ont permis son envol. C’est en majeure partie grâce à vous tous si vous tenez présentement ce journal dans vos mains, le vôtre. Merci également à nos tout premiers auteurs/chroniqueurs qui ont investi quelques heures de leur temps au profit du journal et à Dre Natacha Barrette pour sa précieuse collaboration, préposée à la vérification scientifique des articles qui nous sont parvenus. Finalement, en ne désirant pas vous dévoiler les surprises qui vous attendent ci et là dans le journal, j’en viens à quelques mises en garde particulières et élémentaires que nous avons jugé importantes à formuler ! Les voici :

1. Il est prohibé à tous de baver sur le journal ;
2. Vous ne devez pas le prendre à l’aide de vos dents ;
3. Ne vous en servez pas comme litière ;
4. Il vous est également interdit de le griffer, de le mâchonner, de le lécher ou bien de l’ingérer ;
5. Enfin, le Zooflèche ne doit pas être le motif de combat, de querelle ou de compétition printanière …
Espérant que vous apprécierez le produit, bonne lecture à tous et à toutes !
Israël Gélinas
Rédacteur en chef
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Bonjour à tous et à toutes,
Lecteurs et lectrices, un grand merci de prendre le temps de lire ce journal nouvellement disponible dans le collège, mais débutons par les présentations : je m’appelle Lydia Lambert et je suis étudiante en deuxième année du groupe régulier de Techniques de Santé animale. Faisant partie de l’équipe du Zooflèche à titre de responsable de projet, j’occupe le poste de correctrice en chef. Je vous souhaite une bonne lecture et faites-nous parvenir vos commentaires à l’adresse du journal.

Lydia Lambert
Représentante à l'interne
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Bonjour chers Lafléchiens et Lafléchiennes,
Je me nomme Philippe Malric et j’étudie en Santé animale. Je me passionne en général pour la faune, mais plus précisément pour les chiens de traîneaux à l’apparence du loup (Husky, Malamute et Samoyède). J’aime faire découvrir des choses aux autres et c’est pourquoi j’ai participé à la création de ce journal. Je vous souhaite beaucoup de plaisir pendant la lecture de celui-ci. Merci et à la prochaine!


Philippe Malric
Représentant à l'externe

Les animaux et la fourrière

Chaque année, partout dans le monde, des milliers de chats et de chiens sont "achetés" par différentes familles ou différents individus. Tristement, un bon nombre de personnes visitent une animalerie et, suite à un malheureux coup de foudre, elles repartent, non pas les mains vides, mais dans les bras un petit "toutou". Rendus à la maison, Fido et Minet passent une nuit où ils ne font que pleurnicher. À la suite de quoi, le lendemain, ils ne perdent pas une seule minute à mâchouiller tout ce qui leur passe sous la dent. Comme de nombreux frères et soeurs, ils sont alors abandonnés à la fourrière, faute d'incompréhension de la part de leurs "propriétaires". Voici un vidéo qui montre ce qui se passe quand quelqu'un choisit d'abandonner son animal, son petit "protégé", à la fourrière, voici à quel destin l'homme décide de confier son "meilleur" ami.

Pour visionner la vidéo, il suffit de cliquer sur le titre de cet article.
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